17 août 2010
Les mots courent dans mes veines et se déversent dans ma tête comme un million de bêtes dont il faut faire le tri. Si longtemps, ma plume s´est abonnée absente, même quand j´ai imploré son aide. Maintenant, elle occupe chaque pensée, chaque geste et de sa gestation jallissent tant de choses que je ne sais plus où les ranger.
Ma nouvelle avance, impressionnant. J´en suis à railler les mots, des mots en trop! Comment cela a t-il pu se faire en si peu de temps, naissant d´un prénom si anodin, de mots si simples?
Rosie court dans la prairie de coeurs comme elle court dans ma tête, jumelle d´un certaine Marichen qui cabriolait dans le vent comme une âme avide.
Mon coeur balance.